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Jared Kushner: ”Aucun expert sur terre n’aurait pensé que ce qu’Israël a fait était possible”

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par LPH INFO

Jared Kushner, le gendre et ancien conseiller du Président Donald Trump, a publié un post dans lequel il exprime sa vision des derniers développement entre Israël, le Hezbollah et le Liban.

”Le 27 septembre est le jour le plus important au Moyen-Orient depuis la percée des accords d’Abraham.
J’ai passé d’innombrables heures à étudier le Hezbollah et aucun expert sur terre n’aurait pensé que ce qu’Israël a fait était possible.
C’est important parce que l’Iran est maintenant complètement exposé. La raison pour laquelle ses installations nucléaires n’ont pas été détruites, malgré la faiblesse de ses systèmes de défense aérienne, est que le Hezbollah était une arme chargée pointée sur Israël. L’Iran a passé les quarante dernières années à développer cette capacité comme moyen de dissuasion. Le président Trump a souvent déclaré : ”L’Iran n’a jamais gagné une guerre, mais n’a jamais perdu une négociation”. Le régime de la République islamique est beaucoup plus coriace lorsqu’il met en danger la vie du Hamas, du Hezbollah, des Syriens et des Houthis que lorsqu’il met en danger la sienne. Leurs efforts insensés pour assassiner le président Trump et pirater sa campagne sentent le désespoir et renforcent une large coalition contre eux.

Israël se retrouve maintenant avec la menace de Gaza en grande partie neutralisée et la possibilité de neutraliser le Hezbollah dans le nord. C’est malheureux de voir comment nous en sommes arrivés là, mais peut-être y aura-t-il une lueur d’espoir à la fin.
Quiconque appelle à un cessez-le-feu dans le nord a tort. Il n’y a pas de retour en arrière pour Israël. Il ne peut pas se permettre de ne pas terminer le travail et de ne pas démanteler complètement l’arsenal qui le menace. Il n’aura jamais d’autre occasion.

Après les succès tactiques brillants et rapides des beepers, des talkies-walkies et du ciblage des dirigeants, l’immense cache d’armes du Hezbollah est sans surveillance et sans personnel. La plupart des combattants du Hezbollah se cachent dans leurs tunnels. Ceux qui sont encore là n’étaient pas assez importants pour porter un beeper ou être invités à une réunion de dirigeants. L’Iran est également sous le choc, en proie à l’insécurité et ne sait pas dans quelle mesure ses propres renseignements ont été infiltrés. Ne pas profiter pleinement de cette opportunité pour neutraliser la menace est irresponsable.

J’ai entendu des histoires incroyables sur la façon dont Israël a collecté des renseignements au cours des dix derniers mois grâce à des technologies brillantes.
Mais aujourd’hui, avec l’assassinat confirmé de Nasrallah et l’élimination d’au moins 16 hauts gradés en seulement neuf jours, c’est le premier jour où je commence à penser à un Moyen-Orient sans l’arsenal complet de l’Iran visant Israël. Tant d’autres résultats positifs sont possibles.

C’est le moment de soutenir Israël, pays en quête de paix, et la grande partie des Libanais qui ont été maltraités par le Hezbollah et qui souhaitent revenir à l’époque où leur pays prospérait et où Beyrouth était une ville cosmopolite. Le principal problème entre le Liban et Israël est l’Iran ; par ailleurs, les peuples des deux pays auraient beaucoup à gagner à travailler ensemble.

La bonne décision à prendre aujourd’hui pour les Etats-Unis serait de dire à Israël de terminer le travail. Il est grand temps de le faire. Et ce combat ne concerne pas seulement Israël. Au cours des six dernières semaines, Israël a éliminé autant de terroristes recherchés par les États-Unis que nous ne l’avons fait au cours des vingt dernières années. Parmi eux, Ibrahim Aqil, le chef de l’organisation du Jihad islamique du Hezbollah qui a orchestré l’assassinat de 220 Marines en 1983.

Le philosophe Bernard-Henri Lévy a écrit sur X : ”Je ne cesse de lire partout que le Liban est ”au bord de l’effondrement”. Non. Il est au bord du soulagement et de la délivrance”.

De tels moments ne se produisent qu’une fois par génération, si tant est qu’ils se produisent même un jour.
Le Moyen-Orient est trop souvent un solide où peu de choses changent. Aujourd’hui, c’est un liquide et la capacité de le remodeler est illimitée. Ne gâchons pas ce moment.
Prions tous pour le succès, pour la paix et pour le bon jugement de nos dirigeants”.


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