7 octobre 2023
Contributions
Publié le 19 mars 2024
Le 7 octobre dernier, le Hamas a perpétré en Israël le massacre de Juifs le plus meurtrier depuis la Shoah :
Ses membres ont assassiné, violé, mutilé et torturé plus de 3000 Israéliens et ressortissants étrangers, kidnappé plus d’une centaine de personnes à Gaza pour en faire leurs otages et s’en servir à la fois comme boucliers humains et monnaie d’échange.
Depuis, 41 sessions ont été organisées par le Conseil des Nations Unies et aucune d’elle n’a condamné le Hamas.
La principale organisation internationale n’a pas pu se résoudre à condamner les crimes contre l’humanité les plus dépravés de notre siècle et a même refusé de l’envisager, quand bien même le Hamas s’est pourtant juré de perpétrer les crimes génocidaires du 7 octobre « encore et encore et encore »…
Sans la pression de quelques pays, les Nations unies se seraient contentées de continuer à faire comme si le Hamas n’existait pas.
Le rapport de la commission d’enquête menée par Pramila PATTEN, représentante spéciale des Nations unies sur les violences sexuelles en période de conflit, expose avec force détails les crimes sexuels commis par le Hamas à l’encontre de femmes et de jeunes filles le 7 octobre, ainsi qu’à l’encontre de femmes otages à Gaza au cours des derniers mois.
Il décrit les viols systématiques ou collectifs, les mutilations génitales, la nécrophilie, la torture sexualisée, l’humiliation et les traitements inhumains pratiqués par le groupe terroriste, sur la base de 36 interrogatoires et de l’examen de 5000 photos et de 50 heures de vidéo.
C’est la première et unique reconnaissance explicite par l’ONU des atrocités sexuelles commises par le Hamas qui, pour l’instant, enterre le rapport et n’agit pas en conséquence. Bien que la barbarie du Hamas soit révélée au grand jour, c’est INACCEPTABLE !
Selon ses propres critères, l’ONU DOIT officiellement condamner le Hamas et en particulier ses crimes sexuels, le désigner comme ORGANISATION TERRORISTE, de même que DAESH, lui imposer les sanctions les plus sévères et une guerre totale sans réserve.
Toute autre réaction constitue un manquement INADMISSIBLE au devoir envers les victimes mortes, survivantes et toujours retenues en otage dans des conditions épouvantables. C’est le seul langage que les terroristes du Hamas comprennent.
C’est la meilleure chance de sauver des vies israéliennes et palestiniennes du culte de la mort que promeut le Hamas, qui a massacré des familles israéliennes en toute impunité et sacrifié sans scrupule sa propre population en l’utilisant comme bouclier humain.
En effet, le 7 octobre a montré clairement que les populations musulmanes et chrétiennes d’Israël, qui servent depuis longtemps dans Tsahal, se sont levées en masse aux côtés de leurs frères et soeurs juifs dans la guerre visant à protéger Israël contre le Hamas, le patriotisme ressenti envers Israël par ces communautés est monté en flèche depuis l’attaque. Il est maintenant évident que le Hamas est prêt à sacrifier absolument n’importe qui, y compris tous les Palestiniens et les musulmans, pour poursuivre ses objectifs.
Il est bon de rappeler que, parmi les otages, figurent un bébé, Kfir Bibas qui, kidnappé à 9 mois, a fêté sa première année en captivité, son frère aîné Ariel et ses parents Shiri et Yarden, que de jeunes enfants bédouins musulmans ont été sauvagement assassinés le 7 octobre juste parce qu’ils étaient ISRAÉLIENS.
Que parmi les otages du Hamas figurent aussi HAMZA et YOUSEF ZYADNA, MOHAMMAD ALATRASH et FARHAN AL QADI, tous musulmans israéliens.
La machine de guerre fondamentaliste et fanatique du Hamas s’en moque, ne s’en est jamais souciée et ne s’en souciera jamais car elle n’a jamais voulu la paix et n’a jamais défendu la qualité de vie des musulmans !
Si l’ONU se soucie vraiment du bien-être des Israéliens, des Palestiniens, des juifs et des musulmans, elle doit désigner le Hamas comme TERRORISTE et combattre l’organisation avec tous ses moyens légaux, y compris militaires, permettre la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages et se tenir aux côtés d’Israël et de ses alliés dans sa campagne visant à débarrasser la région du proche orient de cette menace, comme elle l’a fait contre cette autre menace qu’était Daesh par le biais de la coalition internationale et l’OTAN.
Le moment est venu pour l’ONU de faire face au fondamentalisme fanatique une bonne fois pour toute, faute de quoi elle s’enfoncera encore plus profond dans son IMPUISSANCE ACTUELLE ET PROUVERA SON INUTILITÉ À RÉSOUDRE QUOI QUE CE SOIT, L’INUTILITÉ MÊME DE SON EXISTENCE. ELLE ET CHACUN DE SES ÉTATS MEMBRES seront jugés par l’Histoire !
Les réalités de la guerre
Le Hamas avance le chiffre de 31.000 Gazaouis tués à Gaza depuis le début de cette guerre qu’il a lui-même imposée aux Israéliens et aux Gazaouis. TOUT LE MONDE reprend les chiffres du Hamas, en criant au « génocide » (quand on emploie ce mot, il faut en connaître l’entière véritable signification) sans AUCUNE VÉRIFICATION ET SURTOUT sans « DÉCOMPTE DE GUERRE ». Selon les vrais spécialistes militaires internationaux, l’effectif du Hamas était de 30.000 combattants (minimum) au 7 octobre (sans compter les combattants du Djihad Islamique et autres groupuscules terroristes).
1) Les spécialistes considèrent qu’il resterait, après 5 mois de guerre, 6.000 combattants du Hamas encore en état de combattre ;
6.000 combattants du Hamas capturés par Tsahal ;
18.000 combattants du Hamas éliminés par Tsahal.
2) Tsahal a un taux de « dommage collatéral » civil/combattant de 1 pour 40 ce qui relève de l’exploit ;
En appliquant ce ratio vraisemblable de 1 civil pour 40 combattants, 600 civils palestiniens de
Gaza seraient tombés par suite d’accidents collatéraux de Tsahal ;
2400 civils palestiniens de Gaza ont également été tués par les tirs ratés d’armes lourdes et
tirs au sol du Hamas et des autres organisations terroristes de Gaza.
3) 18.000 combattants du Hamas tués + 2400 civils Gazaouis tués par de mauvais tirs terroristes + 600 civils Gazaouis tués accidentellement par Tsahal = 21.000 Gazaouis tués. Donc 3000 civils Gazaouis ont trouvé la mort dans ce conflit en 5 mois, dont les trois quarts sont du fait des mauvais tirs du Hamas et autres groupes terroristes ; À cela il faut rajouter les 4000 combattants du Djihad Islamique et des autres groupes terroristes, présent à Gaza, éliminés par Tsahal…On en est donc à 25.000 Gazaouis tués dans cette guerre ;
4) Il faut aussi prendre en compte les exécutions délibérées de civils Gazaouis par le Hamas à la suite d’accusations de trahison et de désertion – le nombre est inconnu mais réellement « conséquent » et « approcherait » les 2000 personnes -, ce qui conduit à 27.000 Gazaouis morts dans cette guerre.
5) Conclusion : sachant que le Hamas gonfle systématiquement ses chiffres et, SURTOUT, qu’il considère toujours TOUTES les victimes comme des civils tués par Israël, y compris ses propres combattants, y compris les combattants des autres groupes terroristes, y compris les tués de son propre fait que ce soit par accident de tir ou par exécution volontaire, on a un chiffre de 27.000 proche des 31.000 qu’il annonce
-18.000 combattants du Hamas tués,
-4000 combattants du Djihad Islamique et des autres groupuscules terroristes tués,
-2000 civils Gazaouis exécutés par le Hamas pour traîtrise et désertion,
-2400 civils Gazaouis tués dans les tirs ratés du Hamas, du Djihad Islamique et des autres
organisations terroristes,
-600 civils Gazaouis victimes des accidents de tirs et combats de rue menés par Tsahal.
-Total : 27.000 victimes Gazaouis
VOILA LA RÉALITÉ D’UN DÉCOMPTE DE GUERRE !
Enfin, en plus de la terrible difficulté de ne pas tuer les otages israéliens, Tsahal s’acharne à conserver le taux de dommage collatéral de 1 civil pour 40 combattants, et même de tout faire pour le descendre, CELA EXPLIQUE NOTAMMENT LA DURÉE DE CETTE GUERRE.